Artisan Vitrier Paris

Vitrier Paris est une entreprise créée par 2 amis spécialiste et passionné de vitrerie. A la suite d'un banal double vitrage cassé, nous avons tenté de trouver un vitrier compétent et rapide sur le web. Il nous a été impossible de déterminer la qualité de service des différents prestataires, ni même d'obtenir une vague idée de leur différents prix.
Nous avons alors été contraints de choisir au hasard et nous sommes par malchance, tombés sur un vitrier malhonnête qui nous a facturé un montant beaucoup prohibitif.
Pour éviter que ce genre d'incident arrive à d'autre, nous avons réunis nos forces pour réunir les meilleurs artisans vitriers de Paris et ainsi permettre à n’importe quel internaute de trouver aisément un vitrier de confiance et pouvoir connaître à l'avance le montant de sa facture.

Après finalisation de mes études théoriques et pratiques dans l’école de formation en vitrage, je me suis demandé faut-il pratiquer le métier en tant que vitrier réparateur ou bien devenir un vitrier fabriquant ? J’ai vite tranché et j’ai choisi d’être un vitrier àParis. En fait, un fabriquent de verre était un investissement lourd pour un jeune diplômé. Ca demandait non pas seulement de l’argent, mais aussi des agréments et des approbations de l’état qui nécessitaient pas mal de conditions à remplir.
Six mois après l’obtention de mon brevet de vitrier qualifié, je me suis lancé dans le domaine avec une petite boutique d’une trentaine de mètre carré au centre de Paris. La surface n’était pas vraiment géante, mais l’emplacement était formidable : il permettait aux passagers de voir ce que j’offre, et surtout, il me permettait d’atteindre les adresses de mes clients en moins de 30 minutes dans la quasi-totalité des cas ! Ce dernier est un avantage important pour un vitrier débutant qui voulait gagner la confiance de ses clients en les dépannantrapidement dans les cas urgents.
Je me souviens du premier jour de travail durant lequel un petit garçon était le premier à entrer dans ma nouvelle boutique de vitrage. Un garçon à peine de 10 ans,portant avec lui son ballon de football, n’avait pas l’air d’être le client que j’attendais depuis l’inauguration. Mais après qu’il commençait à parler j’ai réalisé que c’est bien un client sérieux ! Ce « jeune homme » était en train de jouer du football avec ses camarades dans le jardin de l’immeuble où ils habitaient, alors qu’un tir au but avait détourné pour heurter la vitre coulissante du salon de son appartement. Je me suis rendu sur place et j’ai fait ma diagnostic : c’était vraiment un accident qui nécessite une réparation du vitrage cassé. Le verre brisé était un verre simple à 4 millimètres, très insuffisant pour une fenêtre de rez-de-chaussée vulnérable aux collisions. J’ai vite décidé de changer cette vitre par une autre

Cette question m’a rattrapée dès mon jeune âge. Au début de mon apprentissage du métier, alors que je n’avais que 18 ans, je me demandais : faut-il se spécialiser dans le vitrage ou plutôt dans le monde de la miroiterie ? Je n’avais pas suffisamment de connaissance à propos de ces deux volets et je faisais souvent confusion entre leurs caractéristiques et dérivés.
Les premiers mois d’apprentissage vont me permettre de prendre décision. Je me souviens du premier mois qui a été consacrée à l’étude des types de verre simple. Chaque type se caractérisait par une épaisseur et une dureté spécifiques. Plus le verre était fin et grand (en surface), plus il était fragile. Par la suite, nous avons entamé les ABC du découpage du verre selon chaque type. Le mot clé du découpage était de fixer correctement le point de rupture et d’utiliser l’outil adéquat de découpage. Le rapport entre épaisseur et surface du verre était alors primordial dans la manière de coupure. Ce rapport définit un coefficient mathématique que j’utilise toujours dans mes projets de vitrage et que je communique souvent à mes clients pour qu’ils comprennent mes choix. Mettre le client dans le bain m’aidait souvent à prendre les bonnes décisions.
Les mois d’après étaient très constructifs puisqu’ils traitaient le volet de changement de vitres cassés tout en abordant les thèmes de sécurité. Il fallait apprendre à cœur comment changer un verre (simple, double, triple vitrage, verre de sécurité, vitre laminé…etc.), mais aussi sans se faire blesser les mains ni perturber la sécurité du lieu de travail. On a consacré beaucoup de temps aux procédés de changement des doubles vitrages cassés. Ces techniques sont de grande importance vue l’utilisation très courante de ce genre de vitrage à Paris.
J’ai passé d’inoubliables moments durant mes deux années de formation dans cette école et j’ai enfin choisi de se spécialiser dans le vitrage et ses différentes spécialités. Après la formation, je me trouvais prêt à bâtir m